Depuis le 1er janvier 2018, toutes les entreprises de plus de 100 salariés situées en Île-de-France ou dans une agglomération dépassant 100 000 habitants doivent mettre en place un plan de mobilité. L’objectif ? Diminuer le coût et l’impact socio-économique qu’entraînent chaque jour les déplacements professionnels. Le rôle de l’entreprise ? Sensibiliser et encourager ses employés à recourir à des modes de déplacements alternatifs comme la mobilité douce.
Qu’est-ce que la mobilité douce ? Il s’agit en somme de tous les modes de déplacement non polluants. Il peut s’agir de transports non motorisés, électriques, au gaz naturel/bio GNV ou ne faisant appel qu’à l’effort physique. Le panel est donc assez large : marche à pied, vélo, trottinette, roller, bus au gaz naturel, tramway, etc.
De ce fait, la promotion de la mobilité douce répond parfaitement aux exigences d’un plan de mobilité et sollicite un engagement commun entre entreprise, salariés et collectivités.
Afin d’augmenter la popularité et l’intérêt des modes de transport dits « doux », les entreprises se doivent de sensibiliser et de motiver leurs employés : newsletter, campagne d’affichage, défi mobilité douce sur une semaine…
Des informations et des actes de promotion qui doivent également être appuyés par un engagement fort des différents acteurs de la politique des transports (tissu entrepreneurial local, collectivités publiques, agences territoriales) et l’offre d’infrastructures adaptées :